PROBLEMES AUTRES QUE L’ALCOOLISME

1,50 

Les pensées de Bill W. sur le statut de ceux qui sont dépendants aux drogues et autres substances au sein des AA sont tout aussi pertinentes aujourd’hui qu’elles ne l’étaient au moment de leur parution dans le Grapevine en 1958.

35 en stock

Catégorie : UGS : FP35

Description

Les pensées de Bill W. sur le statut de ceux qui sont dépendants aux drogues et autres substances au sein des AA sont tout aussi pertinentes aujourd’hui qu’elles ne l’étaient au moment de leur parution dans le Grapevine en 1958.

Il n’y a peut-être pas de pire souffrance que celle du toxicomane, particulièrement celui qui s’adonne à la morphine, à l’héroïne et autres stupéfiants. Ces drogues déforment le cerveau, et le terrible processus du sevrage est un supplice pour le corps. À côté du toxicomane et de ses souffrances, nous les alcooliques faisons figure de collégiens. Les barbituriques, consommés à l’excès, sont presque aussi mauvais. Il y a des membres AA qui se sont merveilleusement bien rétablis, tant de la bouteille que de l’aiguille. Il y en a aussi beaucoup qui ont été victimes — ou le sont encore — des barbituriques et même des nouveaux tranquillisants.

Par conséquent, le problème de la toxicomanie sous ses différentes formes nous touche tous de près et suscite en nous énormément d’intérêt et de sympathie. Autour de nous, les hommes et les femmes qui tentent de cette façon de régler leurs problèmes ou d’y échapper sont légion.

Plusieurs membres AA, en particulier ceux qui ont souffert de telles dépendances, demandent maintenant : « Que pouvons-nous faire en matière de drogues, à l’intérieur de notre mouvement comme à l’extérieur ? »

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “PROBLEMES AUTRES QUE L’ALCOOLISME”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Poster commentaire